Diabète & Obésité

Nom du produit

Résistine

Cat. noE50
Gamme20 – 1000 ng/ml
Sensibilité12 pg/ml
Durée d'incubation4 heures
Volume échantillon15 µl (à diluer 1 : 21)
Echantillon

Sérum, Plasma EDTA, Citrate et Héparine, Urine, Salive, Lait maternel, Culture cellulaire

Précautions

Les échantillons hémolysés donnent des taux de résistine faussement élevés. On fera le recueil des prélèvements avant 14.00 heures. Refroidir immédiatement les échantillons après prélèvement. Les sérums et les plasmas sont stables 1-2 jours à température ambiante. Stables 2 ans à -20°C. Maximum 3 cycles de congélation/décongélation.

Valeurs de référence

Femmes : 7 ng/ml

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

± 2.5 DS (rapporté à un IMC ~ 25 kg/m2)
Hommes : 6 ng/ml

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

± 2.5 DS (rapporté à un IMC ~ 25 kg/m2)
 

Espèces

Humaine

Tests96 Tests
MéthodeELISA
Intérêt clinique

La résistine (FIZZ3) est une hormone qui agit sur le métabolisme des graisses et sur les processus inflammatoires. Chez l’homme, elle est exprimée dans la moelle et transportée par les macrophages dans les tissus adipeux. On a montré que la résistine humaine stimulait la prolifération des préadipocytes et la lipolyse des adipocytes matures en agissant probablement sur les signaux MAPK. En raison de l’importance de la résistine dans les désordres du métabolisme énergétique, une diminution significative a été mise en évidence chez les patients atteints d’anorexie nerveuse. On a montré que la résistine augmente l’expression de marqueurs cellulaires spécifiques tels que VACM-1 et ICAM-1, et influence ainsi les processus inflammatoires endothéliaux et donc l’artériosclérose. De plus en raison de son association avec l’Endothéline-1, la résistine joue également un rôle dans les maladies cardiovasculaires.

 

Implication clinique :

• Adiposité
• Insulinorésistance, diabète
• Artériosclérose
• Inflammation
• Lipolyse

 

Informations utiles

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